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Voici une nouvelle histoire dans notre univers de 3ème Aube, histoire sortie pour fêter le jour des morts.
Dans celle-ci, vous vous retrouverez au sein d’un rituel du Clan du Crâne qui risque d’être plus violent pour vous que pour les membres du clan.

Nous vous offrons cette nouvelle à découvrir gratuitement dans son intégralité, bonne lecture !


Ountum’he – Naissance d’un Prétorien

Une nouvelle dans l’univers de 3ème Aube par F.E Nebary et l’équipe du Projet CarTylion.
D’après l’univers de Florian Desfougères et F.E Nebary.



Ountum’he, ountum’he, … Ountum’he, ountum’he…

Le chant résonnait dans la salle. Répétant inlassablement mais mélodieusement ces mêmes mots. Somael avait entendu qu’ils signifiaient naissance il y a très longtemps, mais personne n’en était vraiment certain. La salle souterraine dans laquelle son clan s’était réuni s’étendait considérablement dans toutes les directions autour de lui.  Les bords et le plafond de la salle étaient dévorés par l’obscurité et seul le sol de pierres froides lui paraissait réel. Ce sol était glacial, une sensation de terreur qui le pétrifiait s’en dégageait. Mais il était aussi somptueux, étonnamment envoûtant. Il était entièrement recouvert d’une mosaïque de pierres précieuses que Somael aurait bien aimé contempler, mais l’obscurité présente l’en empêchait. Son père lui avait beaucoup parlé de la mosaïque, il lui avait dit qu’elle représentait des mythes et légendes de son clan. Mais aussi que ceux qui les avaient transmis reposaient à présent en-dessous.

Ountum’he, ountum’he, … Ountum’he, ountum’he…

Des ombres envahissaient complètement la salle. Somael se tenait à quelques mètres d’un épais rideau de flammes. Pourtant il ne ressentait aucune chaleur, et il parvenait à extraire à peine assez de lumière pour distinguer les vêtements de sa famille réunie autour de lui. Tout le monde avait mis d’épais manteaux, les mêmes que l’on aurait mis pour une procession d’hiver. Il reconnaissait des parures sur ses parents, grands-parents, ses tantes et oncles. Tous étaient ornés autant que leur fortune le permettait. C’était un jour important. La naissance d’un nouveau Prétorien.

Ountum’he, ountum’he, … Ountum’he, ountum’he…


Le rideau de flammes se propageait en un cercle gigantesque, découpant dans la salle un espace central de presque mille coudées. Le clan était réparti autour, formant une ronde grossière, une foule où familles, amis et connaissances étaient regroupés, mais où tous fixaient du regard le centre, et tous chantaient. C’était la première fois que Somael voyait autant de monde, des centaines et des centaines de personnes au moins étaient présentes. L’objet de tous les regards, l’intérieur du brasier circulaire, était en contrebas. Cela donnait une allure de gradins à la couronne extérieure, qui permettait à Somael, encore jeune, d’observer ce qui s’y trouvait.


Onze autels se trouvaient dans le cercle. Des constructions toutes massives mais une structure unique à chaque fois. Toutes parementées de revêtement mystique. Toutes décorées de symboles et d’objets inconnus aux yeux du jeune garçon. Toutes captivantes. De ces autels, sept étaient en bordure intérieure du cercle de flammes et quatre se trouvaient plus au centre. Ceux du centre étaient répartis tels que trois se tenaient d’un côté, dans un triangle quasiment parfait, et un de l’autre, faisant face à la pointe du triangle. De nombreuses haies de flammes découpaient l’espace en contrebas, formant un enchevêtrement de lignes ardentes dans une organisation résolument géométrique. Somael reconnaissait un pentagone inscrit dans le cercle, une étoile inscrite à son tour dans le pentagone, une ligne centrale s’étirant sur cinq sixième de la longueur, mais également des formes régulières qu’il ne savait nommer. L’ambiance effrayante mais extatique, le chant assourdissant mais harmonieux, l’immensité déraisonnable de la pièce ou encore l’ornement excessif des autels, tout était accaparant. Mais ce qui passionnait le plus Somael et qui occupait actuellement son esprit était l’impressionnante diversité dans les couleurs des lignes embrasées.


Le rideau de feu circulaire aux bords duquel il se tenait était un délicat mélange de rouge, d’orange et de jaune. Des flammes telles qu’il les connaissait dans une cheminée ou sur la mèche d’une bougie. Des flammes classiques, ordinaires et pour lui uniques jusqu’alors. Mais les flammes qui dessinaient le pentagone et l’étoile étaient, elles, d’un rouge plus sombre, funeste, sans le moindre éclat de jaune. Elles oscillaient rapidement entre le pourpre et le carmin. D’un autre côté, les formes inconnues, elles, étaient dessinées par un brasier bleu très profond, dont les pointes étaient si foncées qu’elles se fondaient dans l’obscurité de la pièce au lieu de l’éclairer. Des notes de violet apparaissaient parfois et disparaissaient aussitôt, comme pour ne pas troubler l’uniformité de ce feu. Cependant le plus étonnant, et ce qui faisait naître le plus de questions dans l’esprit de Somael, était la couleur des flammes de la ligne centrale. Un blanc épais et sinistre au cœur, un vert pâle en bordure et entre les deux des volutes noires allongées, nettes, bien que toujours en mouvement.



Ountum’he, ountum’he, … Ountum’he, ountum’he…


Ountum’he, ountum’he, … Ountum’he, ountum’he…


Une foule entoure et observe un rituel magique dessiné par des lignes de flamme.
Tout le clan s’est réuni pour l’évènement, le rituel va pouvoir commencer. – Illustration de Quentin

Ountum’he, ountum’he, … Ountum’he, ountum’he…


Ountum’he, ountum’he, … Ountum’he, ountum’he…

Les questionnements émerveillés du jeune garçon prirent brusquement fin lorsque toute la salle fut parcourue d’un frisson d’excitation et que le chant prit en intensité. Il redressa sa posture, se concentra sur son chant et scruta l’autel central isolé, l’Autel de la Réflexion. La naissance allait commencer. Le Grand-Samahin venait de bouger.

Ountum’he, ountum’he, … Ountum’he, ountum’he…


À cet instant, Somael se hissa discrètement sur la pointe des pieds, les yeux écarquillés d’admiration rivés sur Néron et Kalem, les deux élus du village qui avançaient lentement vers l’autel. L’excitation de la foule autour de lui ne cessait de monter. Les deux frères semblaient plus grands, plus imposants, presque irréels sous les lueurs enflammées. Ils marchaient avec une assurance que l’enfant enviait en silence, comme s’ils étaient nés pour ce moment. Leurs visages fermés ne trahissaient ni peur ni doute, seulement une détermination profonde. La lumière rougeoyante et bleutée des symboles géométriques projetait des ombres ajoutant une touche d’étrangeté à ce lieu mystérieux, mais Somael n’avait d’yeux que pour ces deux silhouettes qui s’approchaient du bassin. Leur démarche, posée et assurée, le fascinait. Lorsqu’ils atteignirent le bord du bassin, il retint son souffle, les voyant s’immerger dans le liquide sombre et épais qui leur montait aux genoux.

Autour de Somael, les adultes, comme hypnotisés, observaient eux aussi le spectacle solennel. Dans le cœur du garçon, une admiration nouvelle se formait : à cet instant, les deux frères n’étaient plus seulement des héros, mais des êtres investis d’une puissance sacrée, prêts à éveiller des forces qu’il ne comprenait pas encore. Le chant continuait de s’intensifier, vibrant dans toute la salle, et le Grand-Samahin lui-même semblait suspendu à l’incantation, prêt à sceller leur destin.

Ountum’he, ountum’he, … Ountum’he, ountum’he…


Deux héros priant dans un bassin rempli d'un liquide couleur vin au pied d'un autel de pierre marqué par des glyphes magiques, le tout entouré de flamme.
Les deux élus, Néron et Kalem, se recueillent dans le bassin de la renaissance en attendant leur intronisation. – Illustration de Camille


La mère du futur Prétorien, ainsi que deux autres fidèles, se tenaient également près de l’autel. Tous trois à genoux. Le Grand-Samahin prononça quelques paroles et fit signe aux trois de se relever. La mère s’avança entre les deux fidèles, puis récita des psaumes, fermant les yeux et écartant les bras. Les fidèles prirent alors délicatement les bras de la mère, d’une main au niveau de son poignet. Leur autre main, à leur ceinture, sortait maintenant un poignard rituel. Ils sectionnèrent chacun un membre à hauteur du coude, sans grande difficulté, tandis que la mère hurlait ses psaumes. L’horreur de la scène n’entraîna aucune réaction de l’assemblée, le chant de la salle continuait, imperturbable, ce n’était que le préambule des pratiques occultes du clan. Pendant que la mère tombait à genoux, continuant son poème, les fidèles donnèrent les bras détachés au Grand-Samahin puis se retournèrent et saisirent chacun une lourde construction de métal d’où émanait difficilement une épaisse fumée grise. La même torsion experte sur ces étranges objets ouvrit les portes de leur encombrant encensoir, libérant alors des nuages d’un miasme lourd qui montait péniblement en colonne vers le plafond de la salle. Pendant ce temps, le Grand-Samahin, tenant un bras dans chaque main, s’avança vers l’immense pile de crânes qui s’élevait du centre de l’autel. Il prononça une première incantation et des symboles recouvrant la peau des membres mutilés s’illuminèrent d’un blanc macabre. Il prononça alors une seconde incantation en touchant la pile de crânes du bout des mains inanimées. Le flamboiement des symboles sur les bras sembla se propager à tout l’autel. Des symboles gravés à même le revêtement brillaient maintenant avec ardeur, faisant luire l’ensemble de la structure.

Ountum’he, ountum’he, … Ountum’he, ountum’he…

L’épouvantable office continua. Le Grand-Samahin descendit de l’Autel de la Réflexion, lentement, et passa devant la mère toujours agenouillée. Il continua alors son chemin vers le rideau de flammes. Arrivé sur les bords du cercle extérieur, il fut rejoint par les deux fidèles qui portaient maintenant les imposants encensoirs sur le dos. Il entama alors un tour du cercle par sa gauche. Cela le fit arriver devant l’Autel de l’Esprit, ou l’attendait un immense baquet rempli de cervelles, de langues et d’yeux provenant de divers animaux. Une incantation suivie d’un geste réalisé du bout des mains sanguinolentes provoqua l’illumination des symboles de l’autel et du baquet. La cérémonie continua. Ensuite venait l’Autel du Mantra. Le Grand-Samahin passa devant, s’arrêta devant mais n’y monta pas. Trois bourreaux entourant deux prisonniers, liés dos à dos et bâillonnés, se mirent à psalmodier et exécutèrent les deux condamnés. L’autel brilla à son tour et le chemin liturgique du Grand-Samahin et de ses deux fidèles reprit.

Ountum’he, ountum’he, … Ountum’he, ountum’he…

Le suivant était l’Autel du Corps, où un baquet rempli de poumons d’animaux attendait. Le même sacrement, le même toucher, provoqua le même effet, et la triade continua son office. Ensuite l’Autel du Chakra, où deux prisonniers furent exécutés, et après l’Autel de l’Incarnation, où un colossal vase rempli de sang attendait et reçut les dernières giclées de sang des mains exsangues. La procession avait parcouru la moitié du cercle et la fumée qui s’échappait des encensoirs avait commencé à remplir abondamment cette partie de la salle. Somael chantait encore mais ses poumons le brûlaient, il y avait quelque chose dans cette fumée qui la rendait plus corrosive, plus putride que tout ce qu’il avait connu. Il avait d’ailleurs vu les fidèles de près lorsque la procession était passée à son niveau et leurs mains, tirées vers l’arrière pour maintenir au mieux les imposants encensoirs, étaient maintenant couvertes de cloques, la peau décharnée. L’autre moitié de la cérémonie avait pris de longues minutes : d’abord un arrêt à l’Autel de l’Aura, avec un sacrifice, ensuite un baptême d’un baquet de tripes à l’Autel du Wuxci, un autre sacrifice devant l’Autel de la Conscience et enfin le dernier sacrement, cette fois autour d’un baquet rempli de cœurs, à l’Autel de l’Âme.

Ountum’he, ountum’he, … Ountum’he, ountum’he…

De retour devant la mère, qui n’avait pas cessé de psalmodier à genoux dans une mare de son propre sang, le Grand-Samahin prononça un chant d’une voix qui semblait peu à peu provenir de la salle elle-même. Déposant délicatement les bras de la mère sur ses genoux, il sortit alors de sa ceinture un long couteau gravé de toute part. Les bras semblaient briller pour Somael, et il ne savait dire si cela provenait des symboles tailladés dans leur chair, ou des membres eux-mêmes tant tous les symboles semblaient se confondre à mesure qu’ils s’étaient desséchés. Qu’importe, ses yeux étaient fixés sur cette lumière et il ne parvenait pas à s’en détacher, captivant son esprit. Le chant exalté se réverbérant dans la salle lui paraissait maintenant aussi naturel et aussi enveloppant que l’air empli de fumée qui occupait l’immense pièce. Le couteau dans les mains du Grand-Samahin se mit alors à luire plus fort encore que les bras de la mère. L’espace d’une seconde, cette nouvelle lumière vint happer le regard de Somael, et la suivante la tête de la mère tomba à ses genoux.


L’obscurité alors. Bien que les flammes soient toujours là, les mêmes rideaux de couleurs que lorsque Somael avait franchi l’arche menant à la pièce, l’air lui parut soudainement sombre. Il observait péniblement autour de lui, écoutait, et attendait. Il distinguait difficilement le Grand-Samahin qui était maintenant devant la pile de crânes, la tête à la main. Ce fut alors la sensation d’un choc, d’un réveil brutal et forcé, qui envahit Somael. Il inspira de l’air à pleins poumons alors que la salle s’illuminait d’un coup, tous les symboles des autels brillant maintenant de mille feux. Le Grand-Samahin était devant la pile de crânes que cette nouvelle tête venait de rejoindre.

Les deux fidèles qui avaient fait la procession en compagnie du Grand-Samahin avaient escaladé les quelques marches menant à l’autel central pendant l’obscurité. Ils déposèrent à présent les encensoirs dans le liquide opaque qui remplissait un bassin surélevé. Les deux frères étaient à genoux dans ce bassin, silencieux. Le liquide, qui pour Somael avait l’apparence de la boue mais la couleur du vin, s’agita, puis se mit à bouillir. Le Grand-Samahin commença alors une marche depuis la pile de crânes vers l’autel central. Il se mit à chanter et tous se turent. Plus il se rapprochait de l’autel, plus le liquide s’agitait,  semblant se tordre comme pris de vie. À quelques pas du bassin, alors que le chant du Grand-Samahin était maintenant tout ce qui semblait exister pour Somael, l’étrange liquide enveloppa les deux frères, les faisant disparaître, comme dévorés par cette funeste mélasse.


Un cri. Il provenait du Grand-Samahin positionné devant le bassin revenu au calme. À ce cri Somael émergea une seconde fois. Il était essoufflé, comme après un effort, et se plia légèrement, les mains sur les genoux, pour reprendre son souffle et ses esprits. Le silence dans la salle était palpable. Il remarqua alors que tous les fidèles, des porteurs aux bourreaux, s’étaient donné la mort pendant le chant. Leurs corps à genoux pliés sur la lame qu’ils s’étaient enfoncé dans l’abdomen. Alors que son esprit essayait de donner un sens à l’horreur de la scène qui s’étalait à présent devant lui, la salle retournait lentement à l’obscurité. Les symboles juste avant illuminés étaient désormais éteints, sans vie, et même les flammes semblaient maintenant mourir peu à peu.

Tandis que la dernière lueur disparaissait, provenant jusqu’alors de quelques flammes encore tremblotantes sur les lignes au sol mais maintenant inanimées, le bassin, lui, reprit vie. C’était un corps, Somael en était certain. Il ne pouvait distinguer avec précision ses formes, ni même le visage de l’individu, mais il était certain qu’une personne était en train de se lever du centre du bassin. Il reconnaissait clairement la silhouette d’un homme, mais il réalisait alors qu’il n’avait en commun avec cette chose que la silhouette. La créature était d’apparence extrêmement musclée, elle se tenait désormais devant le Grand-Samahin et le dépassait d’un bon tiers. Comme pourvue d’une peau transparente, les détails de ses muscles apparaissaient à la lumière, cachés uniquement par endroit par un assemblage osseux comme si elle était habillée d’un squelette difforme.


L’âme et l’esprit de l’un avaient dévoré ceux de l’autre. Le corps du dévoré avait consumé et s’était enrichi du corps du dévoreur. De deux corps, un seul. De deux frères, un être nouveau. Les souvenirs de l’un, le cœur de l’autre. Debout se tenait à présent un soldat défunt immortel. L’assemblée émerveillée contemplait respectueusement l’apogée des arts et secrets du clan.

Un Prétorien était né.


Suite un un rituel de sorcellerie faisant appelle à une magie de nécromancie, un soldat mort-vivant sort d'un bassin rempli d'un liquide couleur vin.
La créature sortant du liquide qui l’a vu naître. – Illustration de Ruben

Une nouvelle dans l’univers de 3ème Aube par F.E Nebary, Florian et l’équipe du Projet CarTylion.
Illustrées par Quentin, Camille et Ruben.
D’après l’univers de Florian Desfougères et F.E Nebary.





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Le Clan du Crâne


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Le contexte d’Ountum’he en 3ème Aube


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