L’évènement du Troll Penché a inspiré un petit poème à Noëlle. On vous laisse savourer :
« Allez debout vaillante troupe, nous revoilà !
Vêtis-toi, un thé chaud, tu es prêt ? Top départ !
_ Il est bien trop tôt, la nuit est encore là.
_ Troisième Aube se lève ! Direction Montbéliard.
Du pain Et des jeux ! crient les organisateurs
Ne les décevons pas, soyons à la hauteur. »
L’équipe est au complet devant la Roselière.
La Barenne, un marchand et toute leur suite :
Une gardienne de mascotte et deux artistes.
Drôles de gardiens protégeant leurs arrières !
Mais les Trois sont efficaces. La table est dressée.
La fière mascotte siège entre deux épées,
Les étendards annoncent qu’ici se tient
CarTylion, Messeigneurs, pour votre plus grand bien !
Florian le chef prend place et conte aux chalands
L’histoire des Aubes et la Guerre qui l’attend.
Car guerre il y a ! La Barenne le ressent.
À sa table elle rameute tous les clairvoyants,
Ceux qui voient les gains, de la Gloire les clients.
Le Conseil de Guerre doit démarrer céans !
Les Trois veillent que chacun comprenne son but.
Le pouvoir réside dans chaque carte en main,
Mais face aux egos, bien dure sera la lutte,
La soif personnelle scellera les destins.
Chaque Pion, Décision, influe sur le terrain,
Valorise des armées, dégrade des liens.
L’esprit doit être aussi sinueux qu’un serpent
Pour infléchir la course des événements.
« Les conseils s’enchaînent, les stratèges s’enchaînent.
N’oubliez pas, à la guerre nul n’est vainqueur.
Mais les relations valent de l’or, et le cœur
Des armées
vous l’aurez, si la paix paie est pérenne.
Trouvez donc ces cachets, placez bien tous vos Pions.
Qu’à la fin du conseil, vous soyez leur champion. »
Tout le long du weekend, CarTylion tint son rôle.
Il paraîtrait aussi qu’on aurait vu un Troll
Penché sur nos cartes et soufflant deux-trois plans
À l’un de nos Trois, qu’il trouva si excellents,
Que ni une ni deux il défia Florian !
Ce qui advint était certain, le troll riant
Tant et si bien ! Le jeu était épique et pic
Et colégram ! Resta inscrit dans les chroniques.
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